Qui suis-je ?

A ma naissance en 1979 à Angoulême (16), ma mère m'a prénommée Jasmine, en raison de son amour pour le jasmin : j'étais déjà prédestinée à la spiritualité et au contentement.

Il y a quelques années on m'a découvert une maladie dégénérative. J'ai d'abord refusé ce diagnostic puis j'ai pris conscience des contraintes qui m'attendaient. Deux possibilités se sont imposées : abandon ou la résilience. J'ai continué à croire en la résilience, malgré un chemin souvent parsemé d'embûches.

A l'époque j'étais maman d'une petite fille de 2 ans, une séparation douloureuse et compliquée, et des journées interminables « boulot, métro, dodo » qui se ressemblaient toutes. J'ai souvent eu envie de baisser les bras, en me disant qu'il était compliqué d'assumer seule un enfant et la maladie. Mon corps et mon esprit étaient épuisés.

Les années sont passées ainsi, j'ai pris du recul, j'ai pris du temps pour me recentrer sur moi-même, et puis un jour, alors que j'étais davantage disposée à aimer et à être aimée, j'ai eu la chance de faire LA plus belle rencontre de ma vie : mon conjoint. Il m'a apporté tout le soutien que j'avais besoin, je n'étais plus seule, je sentais que je pouvais dorénavant avancer et affronter toutes les difficultés. Mais voilà, en ce temps, j'avais un travail où je ne m'épanouissais plus, j'avais même fini par oublier pourquoi je l'avais choisi. J'ai passé plusieurs années à travailler dans le domaine de la justice, plus particulièrement celui du domaine familiale, à gérer des conflits, à faire des médiations, à proposer des solutions.

Mais j'ai très vite réaliser qu'aider des personnes qui n'écoutaient pas et qui n'aspiraient pas à du changement, ne m'amènerait pas à ce que j'aspirais le plus : aider et voir le changement positif s'opérer.

Je m'épuisais psychologiquement et physiquement, et les problèmes étaient toujours présents.

J'étais enfermée dans un monde trop cartésien, où le temps manquait pour l'écoute, les moyens manquaient pour l'action, je ne trouvais plus ma place.

Ce manque d'épanouissement dans ma vie professionnelle contribuait à accentuer les effets néfastes de la maladie, parfois silencieuse mais toujours présente.

Une nuit a été décisive...

Une nuit où la peur a pris le dessus suite à des complications de santé, m'a amené à réfléchir sur mes attentes de la vie et à mes envies. J'ai réalisé que je ne devais plus rester spectatrice !

J'ai décidé de reprendre des études, tout en continuant mon activité professionnelle. J'ai commencé par une formation de deux ans de décorateur intérieur où j'ai été certifiée avec mention. Lors de cette formation et des stages de bien-être (et de belles rencontres), j'ai découvert le Feng Shui Tibétain, cet art de créer l'harmonie entre les personnes et l'environnement.

J'ai poursuivi les études dans cette spécialité, et après avoir validé mon module sur le Feng Shui et son habitat, j'ai entrepris le Feng Shui et le jardin (privé et public).A l'issue de ces formations, j'ai obtenu mon certificat de consultante Feng Shui avec mention très bien.


Mon déclic sur mon projet professionnel a eu lieu lors d'un stage Feng Shui que j'ai effectué lors de ma formation afin de me perfectionner. J'ai fait des découvertes sur moi-même qui ont changé ma vie dans bien des domaines.

A ce moment là, j'ai trouvé mon chemin spirituel, j'ai trouvé ma place en toute cohérence : aider et accompagner des personnes qui étaient désireuses de vivre dans le bien-être et surtout qui avaient ENVIE de changer les choses pour une vie plus harmonieuse.

Grâce au Feng Shui, j'ai effectué de nouveaux aménagements au sein de mon foyer.

Mettre de l'ordre dans ma maison m'a permis de mettre de l'ordre dans ma vie en générale.

J'ai repris confiance en moi, les effets néfastes de la maladie se sont faits plus rares, ma fille a retrouvé le sommeil, et surtout, j'ai retrouvé l'énergie pour prendre ma vie professionnelle en main et m'y épanouir j'ai fait des projets, et surtout j'ai l'énergie pour les concrétiser.

J'ai réalisé que la maison est à l'occupant, ce qu'est le corps pour l'âme.

Notre maison respire, vit et a besoin qu'on prenne soin d'elle, comme on le fait pour notre corps.

J'ai été soutenue et épaulée jusqu'à la création de mon projet par mon conjoint et aujourd'hui je n'ai qu'un seul objectif, apporter la prospérité, la santé et l'équilibre familial dans les foyers que je rencontre.

Je prends à coeur de les accompagner dans leurs démarches du « mieux vivre », écouter leurs problématiques, les conseiller pour créer chez eux un véritable cocon où chacun trouve sa place, tout ça dans un climat de confiance et d'échanges.

Comme chacun le sait, la vie a son lot de moments difficiles où on aimerait rencontrer une personne bienveillante pour nous aider, nous guider, nous écouter, nous donner les clés.

J'ai appris à prendre le temps, pour moi jusqu'à découvrir les vertus du Feng Shui.

Se donner le temps pour soi, c'est aussi se ressourcer, reprendre de la force, recharger les batteries, nécessaire pour avoir l'énergie de s'occuper de nos proches.

J'ai appris à prendre plaisir à décorer ma maison, à déplacer des objets, çà et là, pour améliorer mon quotidien et à faire des nettoyages énergétiques.

Aujourd'hui le Feng Shui me permet de passer des étapes de la vie avec plus de légèreté, de trouver des remèdes pour améliorer le quotidien, de m'accomplir pleinement, d'équilibrer mon environnement et d'harmoniser ma vie familiale et professionnelle.